| Titre : |
Maurice Journeau : 1898-1999 |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Chantal Virlet-Journeau (1945-....), Auteur |
| Editeur : |
Biarritz : Séguier |
| Année de publication : |
2007 |
| Collection : |
Empreinte (Biarritz), ISSN 1628-4623 |
| Importance : |
133 p. |
| Présentation : |
ill., couv. ill. |
| Format : |
24 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84049-489-8 |
| Prix : |
18 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr. p. 131-133. Catalogue abrégé des oeuvres de M. Journeau p. 115-118. Discogr. p. 123-124 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Histoire de la musique
Histoire de la musique:Études relatives à une personne
|
| Index. décimale : |
780.92 Histoire de la musique - études relatives à une personne |
| Résumé : |
Maurice Journeau, né en 1898 à Biarritz, sentit sa vocation musicale s’éveiller dès l’adolescence et sa ville natale fut le lieu d’écriture de ses très belles œuvres de jeunesse. Puis les circonstances de la vie l’amenèrent à résider dix ans à Nice, période féconde sur le plan violonistique. À l’époque de la pleine maturité, il s’installa définitivement à Paris, avec quelques échappées en Avesnois dans le nord de la France. Enfin, il termina sa longue vie de centenaire à Versailles en 1999.
Il fit ses études de composition auprès de Nadia Boulanger et de Max d’Ollone, dans le cadre de l’École normale de musique de Paris des années vingt. Son œuvre musicale se situe entre l’époque de Ravel, envers lequel il professa toujours une grande admiration, et celle de la fin du XXe siècle, évoluant vers un « moderne modéré », pour reprendre ses propres termes. Il se considérait comme un compositeur indépendant, de fait et par tempérament. N’ayant pas fait profession de la musique, il resta donc à l’écart des milieux musicaux de son temps et ne fut vraiment découvert que dans les années quatre-vingt-dix. Il laissa un catalogue abondant d’œuvres pour piano, musique de chambre et orchestre. Accessoirement, il écrivit aussi pour orgue, clavecin et voix. Que son écriture s’exprime sur la Côte basque, la Côte d’Azur ou dans la capitale, celle-ci reflète toujours un tempérament sensible et passionné sous une apparence énergique et affable, mais si discrète qu’elle priva le monde musical de l’avoir connu de son vivant. |
| Permalink : |
https://biblio.imep.be/index.php?lvl=notice_display&id=8782 |
Maurice Journeau : 1898-1999 [texte imprimé] / Chantal Virlet-Journeau (1945-....), Auteur . - Biarritz : Séguier, 2007 . - 133 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm. - ( Empreinte (Biarritz), ISSN 1628-4623) . ISBN : 978-2-84049-489-8 : 18 EUR Bibliogr. p. 131-133. Catalogue abrégé des oeuvres de M. Journeau p. 115-118. Discogr. p. 123-124 Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Histoire de la musique
Histoire de la musique:Études relatives à une personne
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| Index. décimale : |
780.92 Histoire de la musique - études relatives à une personne |
| Résumé : |
Maurice Journeau, né en 1898 à Biarritz, sentit sa vocation musicale s’éveiller dès l’adolescence et sa ville natale fut le lieu d’écriture de ses très belles œuvres de jeunesse. Puis les circonstances de la vie l’amenèrent à résider dix ans à Nice, période féconde sur le plan violonistique. À l’époque de la pleine maturité, il s’installa définitivement à Paris, avec quelques échappées en Avesnois dans le nord de la France. Enfin, il termina sa longue vie de centenaire à Versailles en 1999.
Il fit ses études de composition auprès de Nadia Boulanger et de Max d’Ollone, dans le cadre de l’École normale de musique de Paris des années vingt. Son œuvre musicale se situe entre l’époque de Ravel, envers lequel il professa toujours une grande admiration, et celle de la fin du XXe siècle, évoluant vers un « moderne modéré », pour reprendre ses propres termes. Il se considérait comme un compositeur indépendant, de fait et par tempérament. N’ayant pas fait profession de la musique, il resta donc à l’écart des milieux musicaux de son temps et ne fut vraiment découvert que dans les années quatre-vingt-dix. Il laissa un catalogue abondant d’œuvres pour piano, musique de chambre et orchestre. Accessoirement, il écrivit aussi pour orgue, clavecin et voix. Que son écriture s’exprime sur la Côte basque, la Côte d’Azur ou dans la capitale, celle-ci reflète toujours un tempérament sensible et passionné sous une apparence énergique et affable, mais si discrète qu’elle priva le monde musical de l’avoir connu de son vivant. |
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